Parcours artistique à Pasteur 2 : « Deux » de Frédérique Nalbandian
De nombreux artistes ont souhaité témoigner de leur attachement au CHU de Nice en proposant des œuvres pour le nouvel hôpital : dons, prêts, créations spéciales… artistes et mécènes ont à cœur de construire progressivement avec le CHU et le Fonds de dotation Aveni, un parcours artistique dans ce nouveau site.
Parmi eux, Frédérique Nalbandian qui a conçu une installation en savon biodégradable, composée de deux colonnes implantées dans les jardins, en miroir. L’ensemble des compositions est simultanément mis en abîme par la paroi vitrée/quadrillée séparant les deux jardins, créant un ensemble de jeux de transparences, miroitements, lumières, reflets d’images.
Ces deux axes « reliant la terre au ciel » ponctuent l’espace de ces immenses « puits » dans un face à face défiant le temps.
Tandis que la colonne intérieure, abritée, demeure immuable, sa jumelle, extérieure, évolue sous les effets des érosions climatiques et biologiques. La dissolution lente du savon rend cet espace expérimental : la matière est active. Le savon, substance majeure et récurrente de la pratique de l’artiste, produit de notre hygiène quotidienne, rappelle ici le vivant et sa dissolution lente, le rapport au temps et à notre disparition.
Cette création a bénéficié du mécénat de Mme Legay, Loic Gestin, architecte-urbaniste, des entreprises APAVE et le Fer à cheval.
Parmi eux, Frédérique Nalbandian qui a conçu une installation en savon biodégradable, composée de deux colonnes implantées dans les jardins, en miroir. L’ensemble des compositions est simultanément mis en abîme par la paroi vitrée/quadrillée séparant les deux jardins, créant un ensemble de jeux de transparences, miroitements, lumières, reflets d’images.
Ces deux axes « reliant la terre au ciel » ponctuent l’espace de ces immenses « puits » dans un face à face défiant le temps.
Tandis que la colonne intérieure, abritée, demeure immuable, sa jumelle, extérieure, évolue sous les effets des érosions climatiques et biologiques. La dissolution lente du savon rend cet espace expérimental : la matière est active. Le savon, substance majeure et récurrente de la pratique de l’artiste, produit de notre hygiène quotidienne, rappelle ici le vivant et sa dissolution lente, le rapport au temps et à notre disparition.
Cette création a bénéficié du mécénat de Mme Legay, Loic Gestin, architecte-urbaniste, des entreprises APAVE et le Fer à cheval.